Notons en passant que le freinage automatique sur MAX AUTO donne des distances d’arrêt supérieures au freinage « MAX MANUAL » (manuel mais avec les pieds quand même) !! Néanmoins, les hypothèses ne sont pas les mêmes puisque l’on ne peut pas prendre en compte la qualité du freinage mais seulement choisir entre trois états de piste : sèche, mouillée ou contaminée.En raison de la composante de vent arrière plus favorable, 5 kt au lieu de 10, la limitation s’est améliorée, passant de 50,621 t à 56,253 t. De même, la longueur de piste nécessaire s’est abaissée de 1790 à 1626 m.Pour l’AUTOBRAKE sur MAX AUTO, le logiciel TOPCAT a calculé une Landing Distance (actual) de 1305 m pour une piste mouillée, ce qui est un peu supérieur à ce que nous avons trouvé pour un freinage bon…Dans les deux cas, la longueur de piste restante permet d’envisager un réglage moins brutal de l’AUTOBRAKE, qui ménagera l’usure et l’échauffement des freins tout en évitant aux passagers d’être malmenés et peut-être même effrayés par un freinage intense…Refaisons donc le calcul pour un réglage du freinage automatique sur AUTOBRAKE 3.La valeur de référence est, cette fois-ci, de 1490 m, auxquels il va falloir apporter les corrections suivantes :Dans ce cas, on évalue la distance corrigée à : 1490 – 190 + 46 + 115 – 2 – 40 = 1419 m. La longueur de piste restante a diminué passant de 545 m à 371 m, mais elle reste substantielle et tout à fait raisonnable. L'avion continue à accélérer pour atteindre la vitesse de décollage VLOF et quitter totalement le sol. Re: Vitesse 777-300ER au touché Message non lu par epdu85 » 05 juin 2011, 06:06 C'est sans doute une publicité mais normalement, ton fichier doit être téléchargé quelque part Cette présentation est simplifiée par rapport à celle du SIA car, comme il est indiqué en note 3), ils sont valables pour une vitesse de 140 kt, c’est-à-dire la VREF maximum pour les avions de Catégorie C.On voit qu’il n’existe pas moins de sept valeurs de minima différents pour un même ILS de Catégorie 1 avec DME. Il aurait été préférable de les réserver au volet des calculs faits en vol, pour préparer le briefing que l’on effectue avant la descente…Si on refait le calcul en annulant le vent, on voit que TOPCAT trouve une masse maxi de 60548 kg, donc légèrement supérieure à celle que nous avions trouvée grâce au graphique (60,3 tonnes)… Toujours l’épaisseur du trait de crayon que l’on peut évaluer à 200 kg !!


A part quelques cas particuliers de piste très courte ou d’aéroport d’altitude très élevée, les limitations à l’atterrissage sont très rarement limitatives…Il est bon de retenir que, pour le B737-800, avec une piste de 2000 m située à une altitude moyenne aux alentours de 1000 ft, on pourra atterrir pratiquement toujours à la masse maxi MLW de 65,3 tonnes…Sur certains terrains, des obstacles dans la trouée d’envol peuvent générer des minima qui seront différents suivant la pente dont l’avion sera capable en remise des gaz. Breveté pilote de planeur en 1968, à l’âge de 17 ans, c’est 2 ans plus tard que débute son parcours professionnel en devenant Élève Pilote de Ligne de l’ENAC. Le Au début de son programme, Boeing avait envisagé de construire des variantes à La seconde version longue-autonomie à être développée, le 777-200LR, sortit le Alors qu'au début de sa carrière, le 777 était le second avion de ligne le plus À la fin des années 2000, le 777 subissait la concurrence d'Airbus avec son projet d'A350 XWB, ainsi qu'une concurrence interne des variantes du 787En septembre 2011, Boeing et General Electric dévoilèrent plus de détails sur deux nouvelles versions du 777, provisoirement nommées 777-8X et 777-9XLe projet du 9X présente une réduction de la masse brute, passant de 352 000 D'après ses annonces, la firme de Seattle étudie également un projet d'avion ultra-long-courrier, nommé 777-8LX, pour remplacer le 777-200LR, qui partagerait les capacités d'emport en carburant et la masse brute du 9X. Atterrissage à Orly en cockpit Boeing 747-400 le 27-01-12 au petit matin. Elles peuvent être « customisées » suivant les demandes des exploitants, en modifiant certains éléments de la structure.