Il suffit de voir un de leurs clips pour le comprendre. J’adore aussi leur titres Sho Madjozi est une poétesse sud-africaine s’étant mise au rap. Alors que Stoan anticipe l'arrivée du motswako, le rappeur Alors que la langue Tswana domine le motswako, le kasi rap est dominé par les langues Nguni, à savoir le Zulu et le Xhosa. Hello. Dès 1984, le regretté bassiste Sipho Gumede s’essaie au hip-hop sous le nom de Un facteur important dans l’ascension du hip-hop en Afrique du Sud est l'émergence d’YFM, une station de radio régionale basée à Gauteng  lancée vers la fin de 1997.

Vous pouvez écouter aussi C'est ce vendredi tôt le matin que nous avons été informés du décès de Panik De Waza en Russie. Crée en 1988, le groupe gagne rapidement un public fidèle à Cape Town et à Johannesburg. Je l’ai connu grâce à sa chanson “Down South” qui passe assez souvent quand on se retrouve entre amis pour un braai et quelques bières. Un des fondateurs, Xolile Madinda, est impliqué dans des projets d'alphabétisation et des débats communautaires.A Johannesburg, le hip-hop occupe le devant de la scène ‘Le Club’, une sorte de Mecque  (similaire à The Base et Club Fame à Cape Town) où l’élite du hip-hop sud-africain fait ses premières armes.
Le rappeur Stoan du groupe Muffin Bongo est le premier à faire connaitre le rap au Motswako au milieu des années 90.

C’est le clip "Zef Side" qui les fait littéralement décoller, en 2010. La devise de l’Afrique du Sud : « un monde en un seul pays ». En Afrique du Sud, la scène rap est confidentielle. L’Afrique du Sud de l’après-apartheid a, elle aussi, vu éclore des couches défavorisées de la société de multiples courants musicaux.

Elle chante la plupart du temps dans sa langue maternelle, le tsonga, qui est aussi une des 11 langues officielles d’Afrique du Sud.J’aime particulièrement son titre Huku (chanté en swahili) dont je trouve le rythme parfait.

Sale histoire.Passons au jazz avec le trompettiste sud-africain Hugh Masekela qui a fait une grande carrière aux Etats-Unis et enchaîné plusieurs tournées avec Paul Simon (de Simon & Garfunkel).Je ne suis vraiment pas fan de jazz donc je ne pourrais pas vous en parler avec le même enthousiasme que pour certaines des chansons qui vont suivre, pourtant, j’aime beaucoup la chanson “Don’t go lose it baby” qui a le don de donner envie de danser en cuisinant un bon petit plat.Si vous faites partie de ces personnes qui savent apprécier le jazz, n’hésitez pas à écouter d’autres de ses titres et dites-moi ce que vous en pensez.C’est sûrement le groupe sud-africain le plus célèbre de nos jours. Tumi and the Volume. Quand on parle du hip-hop en Afrique du Sud, il est important de tenir compte de la souffrance endurée et de la victoire sur l’adversité. Impossible de partager les articles de votre blog par e-mail. Formé en 2002 à Melville, un quartier middle class noire et blanche, à Johannesburg, en Afrique du Sud, Tumi and the Volume est un groupe afro-rap (black & white), intégrant le jazz, le rock ou le dub, avec des textes engagés relatant les blessures et les doutes de la jeunesse sud-africaine.
En cinq ans, le pays s’est hissé au vingt-deuxième rang mondial de l’industrie de la musique et il fait travailler vingt mille salariés. Mais si je vous dis que cette chanson est un succès planétaire et qu’elle a été reprise en plusieurs langues dont le français, ça vous intrigue?Indice N°1: L’histoire se passe dans la jungle. Skwatta Kamp, groupe composé à l’origine de 12 membres et réduit de moitié à la sortie de l’albumAilleurs sur le radar du rap sud-africain, les artistes commencent à présenter des projets durables qui contribuent à changer l'opinion publique sur ce genre. Il y a alors le sentiment que se prépare un événement de grande importance,  que quelque chose se produit aux studios d’enregistrement des rappeurs. Jetez un œil (et une oreille) à Freshlyground est un groupe originaire de Cape Town créé en 2002 et ayant depuis connu un immense succès à l’étranger. Ce sera tout pour ma sélection des 10 chansons sud-africaines que j’adore. Motswako est originaire de Mmabatho dans la province du Nord-Ouest, ancienne capitale de la patrie Bophuthatswana pendant  l’apartheid.